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Lamy Liaisons dans le groupe Karnov

L’éditeur juridique français Lamy Liaisons, si bien établi de très longue date dans notre pays, vient de rejoindre le groupe Karnov, leader sur le marché des services du même type en Scandinavie.

Palmira Andrade, nouvelle directrice générale du pôle français du nouvel ensemble, résume ainsi ses intentions. « Je suis fière de prendre la tête d’une entreprise qui a su ces dernières années à la fois se recentrer sur les services d’information juridique, son coeur de métier, et devenir numérique avec un chiffre d’affaires aujourd'hui réalisé à 80 % en digital. Avec Karnov Group et au sein de l’équipe dirigeante de la région Europe du Sud, je m’attacherai à maintenir l’expertise juridique et éditoriale réputée de Lamy Liaisons et à développer de nouvelles solutions innovantes pour toujours mieux accompagner nos clients au quotidien ».

Lamy Liaisons synthétise le savoir faire de deux marques appréciées aux vocations complémentaires, Lamy et Liaisons sociales. Le savoir faire de ses experts est mis à la disposition des clients à travers le support papier ou en ligne.

Karnov Group met en avant des connaissances essentielles et des solutions de workflows aux professionnels européens dans les domaines du droit, de la fiscalité et de la comptabilité, ainsi que de l’environnement, de la santé et de la sécurité et un objectif, celui de devenir un acteur de premier plan sur le plan européen.

Conquérir tenait sa conférence récurrente sur Go Entrepreneurs, cette fois à Marseille

Conquérir tenait sa conférence récurrente sur Go Entrepreneurs, cette fois à Marseille le 20 octobre dernier dans l’enceinte de la manifestation qui avait lieu, comme l’an dernier, à l’Orange Vélodrome de la capitale phocéenne. L’affluence est apparue en hausse, à la fois sur l’événement dans son ensemble et dans notre réunion. Le prochain évènement Go Entrepreneurs aura lieu à Nantes le 24 novembre à la Cité de Congrès.


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COCEF : les protagonistes du développement des échanges franco espagnols à l'honneur

La COCEF (Chambre officielle de commerce d’Espagne en France) organisait lundi 12 décembre son traditionnel dîner gala annuel à l’Hôtel Intercontinental de Paris. Cette soirée, lors de laquelle un exemplaire de Conquérir fut diffusé à tous les participants, fut notable à moins un triple titre.

D’une part, c’était malgré la recrudescence actuelle de l’épidémie la première édition post Covid de cet événement attendu par la communauté d’affaires franco espagnole dans notre pays. Et il y avait beaucoup de participants, 285 d’après les chiffres fournis par José Manuel Escoïn Cano, secrétaire général de la COCEF. En deuxième lieu, ce fut l’occasion pour la nouvelle présidente de la Chambre, Christine Allard, de prononcer son premier discours devant ce parterre, avec cette particularité d’être à la fois la première femme et la première française à la diriger. Christine Allard est directrice de la communication de Sanef (groupe Abertis).

Enfin, le dîner fut l’occasion de mettre en avant les attraits gastronomiques de la Comunidad Valenciana, en présence de plusieurs personnalités comme les présidents de plusieurs chambres de commerce locales et du secrétaire au tourisme du gouvernement de la région (la Generalitad Valenciana), Francesc Colomer.

Cette soirée traditionnelle de la COCEF, qui fêtera l’an prochain ses 135 ans, c’est l’occasion aussi d’entendre l’intervention de l’ambassadeur d’Espagne, actuellement Gregorio Redondo Baldrich. Il mit en avant le renforcement à venir de la coopération franco espagnole, la richesse des échanges de part et d’autre des Pyrénées, ainsi que l’agenda de la future présidence espagnole de l’UE au premier semestre 2023, avec des ob jectifs importants de signatures d’accords extra européens (Mexique, Chili), en attendant peut être le Mercosur, sans oublier pourquoi pas l’Inde, l’Indonésie ou encore l’Australie. La déclaration fut résolument libre échangiste.

De belles réussites récompensées

Comme chaque année, neuf trophées furent remis à des entreprises ou à des personnalités impliquées dans les échanges franco ibériques et parrainés par des entités prestigieuses (Caixa Bank, Santander, BBVA, Pladur, Business France).

  • Prix de l’entreprise espagnole en France, Amadeus pour ses investissements dans notre pays.
  • Prix de l'entreprise française en Espagne, Alstom, qui continue d’investir et de se développer dans le pays voisin.
  • Prix de l’investissement espagnol en France pour le Groupe Antolin, impliqué dans la sous traitance automobile (électronique et éclairage) qui a ouvert un centre de R & D à Besançon.
  • Prix de l’investissement français en Espagne pour Vinci, après l’intégration de Cobra.
  • Prix de la personnalité espagnole à Andrés Arizkorreta, PDG de CAF, pour son parcours de 42 ans dans cet organisme.
  • Prix de la personnalité française de l’année à Henri Giscard d’Estaing, son PDG, pour avoir fait renouer le Club Med avec l’Espagne, à travers une récente ouverture à Marbella. Le fils de l’ancien président de la République rappela que le premier Club ouvrit aux Baléares en 1950.
  • Prix de l’économie circulaire RSE au Groupe SAICA, une entreprise espagnole de Zaragoza, spécialiste de l’emballage durable et du recyclage en ce domaine.
  • Prix de l’économie RSE-Inclusions au Groupe espagnol Telefonica, pour ses Ecoles 42 consacrées à l’apprentissage de l’informatique, ouvertes à tous, sans critères de diplôme. Quatre centres existent en Espagne et Telefonica en a déployé d’autres en dehors des frontières ibériques.
  • Prix spécial du jury pour la coopération franco-espagnole au Groupe alicantin Santa María, spécialisé dans les parcs à thème et l’hôtellerie.

Univ’Air Plus : tous au vert !

« Tous au vert ! » : l’intitulé de la manifestation d’Univ’Air Plus pour cette rentrée traduisait bien les thématiques qui furent évoquées au cours des cinq conférences de cette université d’été traditionnelle du monde du voyage. Du vert aussi quant au choix du lieu d’accueil des 200 à 300 participants recensés, responsables de déplacements professionnels dans leurs entreprises. Les rencontres se déroulèrent, en effet, au Jardin d’Acclimatation au bois de Boulogne à Paris.

Julie Troussicot, directrice générale de AirPlus France, explicita le fil rouge de cette édition 2022 : débattre et essayer de trouver des solutions pour concilier la préservation et la nécessité de voyager pour affaires. En lever de rideau, les invités purent écouter les présentations des dirigeants de deux start-up, orientées dans le développement durable. Tout d’abord, celle de Didier Arenal, PDG de EHM, située à Brest. Il a développé une solution pour décarboner les flottes de camions et de bus roulant avec des moteurs thermiques, ou utilisant l’hydrogène. Intervint ensuite un autre breton, Hadrien le Flanchec, dirigeant de Kemmrod. Cette fois, il s’agit de mettre à disposition des usagers des flottes de vélos électriques sur toute la France, puis d’en assurer la maintenance et in fine le recyclage. Parmi les invités de choix, nous citerons François Siegel, cofondateur de GS Presse, Brune Poirson, directrice générale du développement durable du groupe Accor, ou encore Guillaume Duny, directeur des achats pour les banques de proximité du Crédit Agricole.

La table ronde « Voyager ou agir pour la planète, faut-il choisir ? » fut évidemment au centre des attentions.

Go Entrepreneurs Lyon : mettre en lumière l’écosystème du territoire

Go Entrepreneurs Lyon Auvergne Rhône- Alpes se tiendra le 22 juin prochain à La Sucrière, dans l’ancienne capitale des Gaules. Conquérir organisera sa conférence récurrente sur la manifestation, autour des dernières tendances en matière de prospection et de fidélisation des clients ce même jour à 15h. Nous nous sommes entretenus avec William Jameux, son directeur, pour en savoir plus sur les orientations de cet événement organisé par les Echos-Le Parisien Evénements.

Paris-Lyon : la concurrence démultiplie l’offre

Les voyages reprennent, en avion vers l’international, en train pour la France et l’Europe proche. Les déplacements en train ont repris vigoureusement dans le grand public l’an dernier, un peu moins parmi les professionnels, où l’on observe encore un retard, d’environ 10 % par rapport à 2019. Reprise par rapport à 2021 il y a clairement, y compris sur l’emblématique ligne Paris-Lyon, qui a vu arriver le premier TGV il y a si longtemps déjà.

Emploi : toutes les fonctions au vert

A la lumière de ses propres investigations, issues des « 4,2 millions d’offres d’emploi » ayant figuré sur sa plate-forme au 1er semestre 2022, HelloWork a dressé un certain nombre de constats.

Premier élément ; en valeur absolue le nombre d’offres d’emploi a plus que doublé par rapport au premier semestre 2021. Les propositions en CDI (+131 %) ou en CDD (+166 %) cartonnent, sachant que 1,9 million d’offres l’ont été en intérim. Les deux pics mensuels enregistrés se sont positionnés en mars, mais aussi en juin, signe que la dynamique d’embauches ne faiblit pas, malgré un contexte général des plus incertains. Si l’on regarde les choses plus finement, quels sont les métiers qui recrutent le plus ?

Tout d’abord ceux de la comptabilité, de la gestion, de la finance et de l’audit, avec 14 % du total. En deuxième lieu suivent de très près les fonctions commerciales (13 %), puis la santé et le social (12 %) dont on parle beaucoup comme étant en pénurie. Les secteurs de la production et de la maintenance industrielle reculent un peu (12 %) au profit de la relation client (9%) et des RH (8 %).

Si l’on s’intéresse uniquement à l’intérim, c’est au contraire le secteur production/maintenance industrielle qui arrive toujours nettement en tête (25 % du volume global) devant celui du BTP et de la construction (22 %) à égalité avec la logistique/transport/supply chain, toujours en plein développement.

Le Grand Paris et Lyon en tête

Donnons maintenant un éclairage régional à cette étude au travers des comptes rendus de ses analystes de l’étude. Les métropoles du Grand Paris et du Grand Lyon concentrent près de la moitié des offres (48 %), avec une nette ascension de quatre points sur 2021 pour la première. Décentralisation, où es-tu ? Notons que la métropole de Rennes, huitième, mais en progrès de 135 % en un an, est en pleine dynamique. Sans surprise, la métropole d’Aix-Marseille-Provence, demeure la troisième (171 %), suivie de celles de Nantes et de Bordeaux (8 %).

La croissance de l’emploi est généralisée, y compris dans les villes moyennes, tout particulièrement dans le Grand Dijon, mais aussi à Valence Romans Sud ou à Saint-Etienne, par exemple.

« Dans un contexte économique incertain, l’emploi fait [donc] bonne figure avec plus de 4,2 millions d’offres d’emploi diffusées sur la plate-forme hellowork.com au premier semestre 2022 […], seul bémol, un début de ralentissement de la croissance des recrutements en intérim dans le BTP. Les candidats de leur côté sont toujours plus nombreux, notamment les candidats en poste qui n’hésitent plus à démissionner pour trouver un nouvel emploi répondant à leurs aspirations de sens, d’évolution ou salariales », conclut David Beaurepaire, directeur délégué de HelloWork.

Méthodologie 

Analyse basée sur 4 197 780 offres d’emploi diffusées sur la plate-forme hellowork.com du 1er janvier au 30 juin 2022, comparée à la même période en 2021.

COCEF : une nouvelle Présidente de belles perspectives

La COCEF (Chambre Officielle de commerce espagnole en France) a élu une nouvelle Présidente, le 9 juin, Christine Allard, présidente de la COCEF, directrice de la communication et des relations institutionnelles chez SANEF (Groupe Abertis).

Conquérir : Vous avez pris vos fonctions récemment, qu’est-ce qui vous a amené à adhérer à la COCEF, puis à vous présenter à la Présidence ?

Christine Allard : Je travaille pour la filiale française d’un groupe espagnol, Abertis, qui est très attaché au rayonnement de l’Espagne et souhaite participer activement aux principales instances économiques des pays dans lesquels il a investi. Nous sommes donc adhérents de la Chambre Officielle de Commerce d’Espagne en France (COCEF) depuis 15 ans, et j’en suis administratrice depuis 5 ans. Lorsque la réflexion sur l’évolution de la gouvernance a démarré, j’ai exprimé mon envie de m’engager encore davantage, pour être utile à la COCEF et à ses adhérents, entourée d’une équipe motivée et pluridisciplinaire. J’ai été élue en juin dernier pour un mandat de trois ans, et je remercie tous les membres du conseil d’administration ainsi que l’Ambassade d’Espagne pour la confiance qu’ils m’ont accordée.

Conquérir : Pourriez-vous nous rappeler les principales activités de la COCEF et ses objectifs ?

Christine Allard : Nos missions : inspirer et accompagner les entrepreneurs dans leur développement et leurs projets, et agir pour la formation et l’emploi ! La Chambre Officielle de Commerce d’Espagne en France (COCEF) est aux côtés des entreprises, grands groupes comme PME, pour leur proposer du conseil en développement, des services d’accompagnement pour des foires et salons, de la formation et certification en espagnol des affaires : le TEST ELYTE. Elle anime un business club très dynamique. Plus de 250 entreprises adhérentes profitent du réseau de la COCEF et des 50 événements organisés chaque année et dirigés par le secrétaire général, M. José Manuel Escoin Cano. La COCEF représente aussi les délégations de Castille y Léon, du parc des expositions de Madrid : IFEMA, de la région d’Andalousie : EXTENDA et de la région de Navarra… entre autres.

Conquérir : Quels sont vos axes de développement de la Chambre pour les prochaines années ?

Christine Allard : Notre ambition est d’agir comme un facilitateur de business et accélérateur de croissance durable pour nos adhérents, espagnols et français, et pour cela, nous allons lancer des janvier 2023, un centre d’affaires franco espagnol, www.centrodenegocios.fr. Nous valorisons les secteurs d’excellence espagnols, comme l’agro-alimentaire, les énergies renouvelables, les infrastructures… Nous voulons développer encore plus nos services en faveur de l’emploi et de la formation professionnelle, par des forums et salons dédiés, notre site empleofrancia.com, et l’accueil de nombreux étudiants dans des entreprises françaises. Les projets sont très nombreux, toujours à l’écoute de nos adhérents et des tendances de l’économie.

Conquérir : Sans rentrer dans tous les détails de votre calendrier, quels sont les prochains événements marquants que vous organisez ?

Christine Allard : Nous organisons beaucoup d’événements pour nos adhérents : des rencontres « réseau » tous les mois_appelées CLUB HISPANIA, des conférences et visites thématiques, des événements sportifs et fédérateurs. Nous sommes en préparation de notre grand rendez-vous annuel : la remise des trophées COCEF lors d’un diner gala le 12 décembre prochain. Il s’agit de récompenser les meilleures initiatives franco-espagnoles, en termes d’investissements et de RSE, mais également les personnalités françaises et espagnoles qui ont marqué l’année. C’est un événement de grande qualité, attirant de très nombreux acteurs économiques, un moment incontournable dans les relations économiques franco- espagnoles…

Vivatech : le meilleur de la technologie française et européenne

Vivatech est l'événement annuel de référence consacré à l'innovation technologique et aux start-ups. Il s'est déroulé à nouveau dans des conditions normales, du 15 au 18 juin à la Porte de Versailles. Parmi les exposants, de très grandes entreprises françaises comme Orange, la SNCF, ou encore la RATP qui présentait par exemple son bus autonome en test actuellement. Plusieurs régions ou métropole nationales étaient venues avec des jeunes pousses emblématiques de leur écosystème.

C'était le cas du pavillon Caen-Normandie. Parmi les seize start-up embarquées, nous avons rencontré les représentants de trois d'entre elles. En premier lieu, Arterya-Santé, qui propose un dispositif médical facilitant le travail des médecins ou soignants amenés à effectuer des prises de sang artérielles, nécessaires dans certains cas pour connaître le taux de saturation de l’oxygène. L’invention brevetée par Arterya-Santé rend les gestes plus précis et plus rapides.

Dans un tout autre registre, celui du fitness revisité, Pleyo-E-Sport. Ses fondateurs souhaitent « renouveler ces expériences » grâce à un contenu digital. Une démonstration de trampoline connecté était ainsi proposée sur le stand, mais elle peut être étendue à d’autres matériels de fitness. Disons que l’on combine de la sorte les jeux vidéo et une activité sportive. Les parcs d’attractions, les bowlings ou encore, les salles de fitness, sont particulièrement visés par les promoteurs de ces matériels.

Un peu plus classique, Banket Fintech propose une plate-forme B2B disponible en SaaS aux prescripteurs de l'univers bancaire (experts-comptables, chargés de mission CCI…). Ils peuvent de cette façon présenter des dossiers clients aux banques qui sont alors en mesure de trouver des prospects tout frais avec des éléments déjà bien ficelés. Autrement dit un gain de temps de prospection et de découvertes parfois inutiles. Les prestataires payent un abonnement au mois et les banques une somme forfaitaire – limitée – par téléchargement.

Les pavillons étrangers présents

Plusieurs pavillons européens étaient visibles sur Vivatech. Ceux de l'Italie – chapeauté par son ICE (Institut du commerce extérieur), de la Wallonie, de Bruxelles ou encore de l'Allemagne. En l’occurrence le pavillon, nommé French-German Lab, a été mis en place par la Chambre franco-allemande de Commerce et d'industrie. Elle a rassemblé « douze acteurs économiques et régionaux », par exemple Saarland, la Rhénanie-Wesphalie du Nord et Berlin. Le propos était de permettre « à près de cent start-ups françaises et allemandes d’exposer leurs innovations et de les présenter lors de pitchs ». Et de leur faciliter les contacts d’investisseurs ou de nature commerciale.

Patrick Brandmeier, directeur général de la chambre franco-allemande de Commerce et d’industrie se félicitait que son pavillon fût « le plus grand écosystème étranger de ce type à VivaTech ». « Il est vrai, rappelle-t-il en substance, que cela reflète le dynamisme des relations économiques entre la France et l’Allemagne ». Par exemple, en 2021, notre voisin d’outre-Rhin s’est avéré le premier investisseur étranger dans notre pays. La multiplicité de ces échanges entraîne « un développement considérable de la coopération entre start-ups de nos deux pays dans les domaines technologiques innovateurs », selon les propos recueillis en substance de Patrick Brandmeier.

Parmi les start-ups exposantes, la dirigeante de Lexomia, Marina Billinger, nous a présenté avec enthousiasme sa plate-forme visant à mettre en relation les entreprises gardant inutilement dans leurs entrepôts ou hangars des marchandises qui ne seront pas commercialisées et une contrepartie de sociétés désireuses d’en profiter à des conditions intéressantes. Quant aux domaines concernés, Marina Billinger évoque l’agroalimentaire, les cosmétiques, voire même les métiers du bois. Une manière, insiste-t-elle, d’éviter les gaspillages à l’heure où certaines matières premières se raréfient. Dans le même temps, ceux qui déstockent y gagnent un peu aussi…

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